Vouloir revenir au siècle dernier lorsqu’une centaine de trains de marchandises circulaient chaque jour sur les rives du lac du Bourget est irresponsable.
Faut-il attendre, entre autres, qu’une chute de rocher à Brison Saint Innocent se produisent lorsqu’un train de matière dangereuse passe au-dessous des falaises à quelques centaines de mètres du point de captage de l’eau potable pour tous les Aixois ?