A la suite d’un rapport de 2003 de hauts fonctionnaires de l’Inspection Générale des Finances et du Conseil General des Pont et Chaussées qui préconisait de mettre en pause le Lyon-Turin et au contraire d’accélérer les projets autoroutiers, l’Etat a lancé en 2004 les études pour un contournement autoroutier de Chambéry, évalué entre 600 millions d’euros et 1100 millions suivant le tracé.